Il aura suffi d’une phrase de notre Directeur Général Fabrice Delaveau au sein d’un dossier de 2 pages sur la désalcoolisation dans le mensuel Réussir Vigne pour comprendre en quoi nous incarnons l’oenotechnique, en quoi nous préservons le vin avant toute chose.
Interrogé par le magazine Réussir Vigne sur les prestations de désalcoolisation par technique physique, Fabrice Delaveau ne s’est pas contenté d’aborder les justifications techniques, les conditions préalables, n’a pas parlé de chiffres ou de pourcentage. Fidèle à notre approche œnologique, il a abordé le sujet sous un angle différent, parlant de la désalcoolisation comme « très intéressante en technique améliorative », pour améliorer le profil organoleptique des vins, pour obtenir plus de fruité et de longueur. Alors que les 2000 mots précédents ne parlaient que de correction….
A l’image de l’intervention de Fabrice Delaveau dans ce dossier, la société Michael Paetzold a toujours voulu ramener l’œnologie au cœur des discussions. Tout au long du cycle du vin, nous travaillons avec les professionnels du monde vinicole pour leur proposer des solutions qui respectent le produit, qui répondent à la problématique sans épuiser le vin de ces potentiels.
Si nous pouvons apporter ce regard diffèrent sur la désalcoolisation, c’est aussi parce que notre société dispose d’un savoir-faire sur le sujet, d’une base de connaissance développée par l’expérience avant que nous proposions cette prestation. Le Concept LIR inventé par Michael Paetzold en 2004, le rejet du désucrage des mouts en 2005, sont des expériences qui nous ont apporté de nombreuses connaissances sur la perception de l’alcool dans les vins, cela avant même l’autorisation de la désalcoolisation en 2005.
Proposer des solutions pragmatiques et innovantes, maitriser chaque geste et son résultat, tel est notre challenge, que nous relevons chaque jour dans les chais en France ou ailleurs.